Phantom Breaker : Oooh oui, encore, fais moi rire !!

Ah si vous saviez où je me trouve en ce moment !

Calé dans un canapé rouge d’un confort indécent, lui même posé dans un salon où perce le soleil de provence… Dans une maison toute de bois construite et ronde comme une soucoupe volante où il fait chaud. Aaaah… <3

Bref je suis suffisamment relaxé et détendu pour vous parler de Phantom Breaker sans devenir trop insultant. Car figurez-vous que Atssal dans son infinie bonté nous a dégoté deux vidéos de plus de cette merveilleuse bouse promise à un avenir aussi radieux qu’un enfant proche de Fréderick Mitterand.

Alors petite question rhétorique : quand on a pas de talent, pas de fric, un jeu de merde entre les mains, un président qui se prend pour un top modèle et qu’on ne peut même pas se reposer sur un quota nichon pour attirer le chaland, on fait comment pour vendre un jeu ? Je vous le donne dans le mille : on filme des gens ayant participé à sa création en espérant que leur motivation donnera envie de s’y intéresser.

Sauf que des fois ça foire parce que malgré toute la bonne volonté du monde, voir des gens manipuler du caca ça ne donne jamais envie. Et puis bon Phantom Breaker à l’air tellement déjà vu, tellement lent, tellement moche… C’est comme tourner un making of sur la création d’un cheeseburger Quick sauce staphylocoque dorée, qui ça intéresse ?

Moi si j’étais eux, je ferai des vidéos des gens qui ont acheté le jeu et sont dégoutés, je filmerai leurs larmes, leur morve coulant de leur nez plein, comment leur vie sociale se dégrade progressivement, le départ de leur copain/copine et leur désespoir sexuel, la perte de leur boulot, le début de leur vie de prostitution cocaïnée et leur mort lente et douloureuse dans un caniveau de Shinjuku…

Nan parce que sérieusement quoi… Filmer à la webcam l’emo PDG de la boite et deux doubleurs d’animes dont on a rien à foutre en train de jouer à un jeu dont tout le monde se fout, était-ce vraiment une bonne idée ?

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