Vous le sentez venir vers vous, vous vous imprégnez de son aura que vous sentez autour de vous, ou est-ce le produit de ses aisselles apparentes quand il vous montre son gros dragon ?
Peu importe, puisque quand vous le voyez sur le select screen, vous savez que le jouer c’est votre destinée, Parce que vous avez ça au fond de vous, vous aimez comme Tibs jouer les persos les plus cheatés des jeux de baston, et n’importe ou et n’importe comment, piffer est toujours possible. Résultat garanti que ça finit toujours par passer ! Quand vous le jouez, vous vous accrochez, et continuez à bourrer, et quand l’ultra sera disponible vous pouvez aussi la piffer car vous serez…
Yeah…
INDESTRUCTIBLE !!!
Personne ne vous mettra plus à terre !
INDESTRUCTIBLE !!!
Rien ne pourra vous stopper !
INDESTRUCTIBLE !!!
Mettez au tapis vos adversaires !
INDESTRUCTIBLE !!!
(sinon le podcast de cette semaine il est bien salty, mangez en)
J’avais zappé de vous mettre la troisième partie des vidéos officielles de VF5 faites par Sega. Elle parle entre autre de la portée des attaques, et est suivie de vidéos sur six personnages : Jean, Taka, Jacky, Sarah, Lau et Pai.
Je sais ce que vous allez dire et je vous interdit de vous moquer. Oui, ok, ce test est en retard. Je sais merci. Mais bon il faut prendre le temps d’avoir le temps si on veut profiter du temps qui passe de temps en temps comme disait le sage. Et faut bien avouer que prendre le temps pour un jeu de combat fait plaisir parce que ça permet d’y jouer, de le comprendre, de l’apprivoiser, et ça c’est bien.
Le test de Virtua Fighter 5 : Final Showdown était pour moi relativement difficile au premier abord. Je ne suis pas un grand connaisseur de la série et pour être tout à fait honnête mon premier fut le 4, acheté en 2010 sur PS2 (quelques mois après l’ouverture de Bas Gros Poing quand je tentais de rattraper mon inculture sur plein de séries) pour faire le mode entrainement et enfin tenter de comprendre comment ça marche tout ce bordel de bas punch qui casse tout. J’ai donc fait le tutoriel du 4, puis celui du 5 à la sortie de FS, puis bourré du sac avec Eileen et Jean sur le PSN, puis je me suis fait bourrer, puis j’ai fini par aller lire/regarder/analyser des tutoriaux, des explications et des matchs, j’ai ré-écouté notre premier podcast sur la série, j’ai encore rejoué, et je me suis lancé.
Le résultat est lisible sur Gamekult une fois de plus, et j’espère qu’il vous donnera envie d’y jouer tant il est essentiel de connaître cette série si on est amateur du genre. Et comme nous l’avons déjà dit et redit maintes fois : faire preuve de curiosité est la récompense ultime que vous puissiez nous offrir. Faites nous plaisir. 😉
Cette semaine c’est le Toasty de tous les superlatifs. Le plus long d’abord, car nous avons battu notre propre record de durée. Celui avec le plus d’invités ensuite, grâce à la présence de notre Valentin national, Kurama-Tengu et Fabien Pionneau de chez les Numériques. Le chef s’est même pointé en plein milieu, genre « c’est moi le chef, je fais ce que je veux, j’ai pas peur des nanas menaçantes en pyjama ! Hein ? Oui chérie, je viens manger ma soupe. ».
Au sommaire votre dose hebdomadaire de troll sur Capcom et tous les autres, un bref debriefing sur l’Evo (à moins qu’on l’ait fait off-record, j’ai oublié), et les events à venir (Cpt Maumau on est quittes).
Gros dossier également sur les écrans donc, grâce à Fabien et l’expertise des Numériques qu’il représentait. Tout, vous saurez tout sur la rémanence, l’input lag… Vous comprendrez enfin pourquoi vous ratez vos links, parce que non, ce n’est pas dû à votre mauvais timing, et que si vous loupez tout en ranking c’est parce que l’écran n’est pas un Asus, na ! Protip : cette dernière phrase est à relire après avoir écouté le podcast.
Et j’en profite pour lancer un nouveau jeu sans obligation d’achat, mais sans vrai cadeau à gagner non plus. Chaque semaine, le premier auditeur qui trouve de quel jeu sont issus les extraits Select Screen et Continue du début et de la fin de Toasty ! (pas les génériques donc) gagne un bisou dédicacé de Tmdjc.
4gamer a réalisé une longue interview (traduite en anglais par Reno) comprenant les Leader de la team Ninja et les producteurs de Virtua Fighter 5. On y apprend beaucoup de choses intéressantes comme le fait que les personnages de VF présents dans DOA5 sont issus de l’intégralité des données (frame data, animations, code, modèles 3D, textures, voix) crées par l’équipe de Sega ; que la version console de Virtua Fighter 5 FS s’est bien vendue et a reçu un très bon accueil ; que s’il faut attendre 30 secondes en lobby entre chaque match de VF5 en ligne, c’est parce que l’équipe a choisi de mettre toutes les ressources réseau dans le match et ferme donc l’accès au lobby lors d’un combat…
Intéressant également, les développeurs pensent que des jeux comme Mortal Kombat pourraient bien un jour détrôner les jeux de combat japonais dans le coeur du public vu qu’ils expérimentent et ouvrent des voies encore inexplorées. Ils sont également contents et inquiets de voir que des développeurs américains comme ceux ayant développé Skullgirls utilisent l’héritage baston typiquement japonais pour faire leurs jeux, et qu’ils vont devoir faire attention à rester dans la course.
Si vous comprenez la langue des cowboys, vous devriez définitivement lire l’interview en intégralité.
Il se passera toujours des choses dans le monde merveilleux de la castagne. Et même dans le creux de la vague, viendra toujours un bon samaritain pour nous sortir un stick pour lépreux ou des screens du prochain DLC de Phantom Breaker.
Tenez, cette semaine par exemple, selon le beau frère de mon cousin, qui l’aurait su par un voisin d’urinoir qui se trouve être le pharmacien du stagiaire photocopieuse de Capcom France, le paysage du jeu de combat est sur le point de changer profondément.
Un nouveau challenger chez un gros éditeur ? Un patch en DLC révolutionnaire qui redore le blason d’un jeu mal aimé, faisant espérer de nouvelles gemmes de gameplay ?
Que nenni. Vous aurez le plaisir d’entendre Sly tous nous faire rêver en écartant les propositions concurrentes, preuve à l’appui. alors faites tournez les cotons tiges et les serviettes, et préparez vous à monter le son, à oser le haut parleur dans les transports en commun, car comme disait Aristote, surnommé le Gouken de Macédoine, « la surprise est l’épreuve du vrai courage ».
Tiens, c’est justement la devise des restaurants grecs et des joueurs de Hakan… Coïncidence ?
Fini les tête-à-têtes entre Jojo et Tmdjc, cette fois nous sommes revenus, et en nombre !
Cette semaine donc, le trio habituel est présent, accompagné de Tmdjc et Wellcook qui nous éclairent de leurs lanternes bienvenues. En bonus non négligeable, French_Akira, un des meilleurs joueurs de Virtua Fighter en France nous accompagne tout au long de l’émission.
En plus du retour sur l’actu de la semaine passée, nous faisons ont un point sur la sortie de Virtua Fighter 5 FS et French_Akira nous donne son avis sur cet opus disponible sur nos machines suintantes de Next-Gen.
Profitez donc de ces 1h10 de podcast pour vous détendre les esgourdes en sirotant votre verre de Freeway Cola.
Si vous êtes un peu à jour, vous savez que Virtua Fighter 5 Final Showdown est sorti sur le PSN et le XBL et ce pour 13 euros. Si vous êtes quelqu’un de bon goût ou de curieux, vous l’achez acheté. Et si vous n’avez jamais joué à un jeu 3D (Tekken ne compte pas) vous galérez comme un âne malgré le tutoriel et les défis pour apprendre à jouer. N’ayez pas honte, cela arrive même aux meilleurs. La preuve, Ken Bogard est dans le même cas.
Heureusement certains ont pensé à vous : Ultra David et James Chen ont réalisé une émission d’environ deux heures faisant le tour du système de jeu et surtout de comment ça se joue : explication du rythme du jeu (vous serez surpris d’apprendre que c’est comme un RPG, au tour par tour), quelles sont les propriétés des coups High/Mid/Low, comment fonctionnent les chopes (joueurs de SFIV, ça va être un bouleversement), comment gérer les déplacements, quels sont les mixups les plus essentiels et évidemment, comment s’y retrouver dans cette movelist pléthorique.
C’est un peu long mais très détaillé et globalement cela enseigne vraiment, vraiment bien les bases. Bon visionnage et à bientôt in-game. :3
Juste pour vous informer que Virtua Fighter 5 : Final Showdown est sorti aujourd’hui sur le PSN et arrive sous peu sur le XBL. Il coute environ 13 euros et comprendra des packs de costumes en DLC qui sont tout à fait optionnels, l’ensemble des modes et options étant compris dans le jeu.
Je sais que je vous fais le coup à chaque jeu de baston qui sort ou presque, mais je serais vraiment, vraiment content que vous vous procuriez ce jeu, et il peut faire beaucoup pour votre culture personnelle en matière de jeu de combat. Comme nous vous l’expliquions dans notre podcast consacré au premier épisode de la saga, Virtua Fighter est une saga pionnière dans le genre. Elle a inventé une nouvelle manière d’appréhender le jeu de combat, manière évidemment très différente de ce que vous avez l’habitude d’avoir avec Street Fighter. Explorer avec cet épisode, très peu couteux, ce qu’est devenue cette série est vraiment une chose à faire si vous aimez le jeu de combat en général.
Virtua Fighter possède un style unique et est resté très fidèle à ses racines arcade ainsi qu’à son concept qui était de faire une simulation virtuelle de combat. La série n’a donc ni évoluée dans l’humour et la fantaisie martiale comme l’a fait Tekken, ni dans le nanar et l’érotisme comme l’a fait Dead or Alive. En ce sens le jeu vous paraîtra très franc, très direct, comme débarrassé du superflu : pas d’effets lors des coups, pas de sauts incroyablement hauts et de pouvoirs hors du commun, peu de couleurs criardes ou de sons tonitruants. Juste des avatars aux designs très soignés et très fins, presque de trop bon gout comparé au genre dans son ensemble (surtout aujourd’hui), qui représentent chacun un style de combat qui mérite d’être joué.
Si j’insiste pour que vous vous le procuriez, c’est aussi parce que cet épisode possède le fameux mode tutoriel de Virtua Fighter 4 EVO remis au gout du jour pour les mécaniques de Final Showdown. Je vais vous le dire franchement : aucun tutoriel n’a jamais aussi bien appris le jeu de baston 3D que celui de Virtua Fighter 4 EVO. Je me suis acheté ce dernier parce que je ne savais simplement pas comment jouer à un jeu 3D et que c’était le meilleur moyen d’apprendre. Si je n’ai pas assez pratiqué pour voir toutes les nuances possibles, cela m’a permis d’acquérir une chose importante : comprendre de ce qui se passe lors d’un match, comprendre comment le jeu se joue, et savoir analyser ce que font les joueurs. Il n’y a rien de plus relou que de ne pas capter ce qui se passe à l’écran lors d’un match, et Virtua Fighter évite cet écueil.
Mieux encore : étant le parrain de tous les autres jeux 3D, ses bases pourront aussi vous servir dans Dead or Alive, dans Soul Calibur et même dans Tekken. Le jeu est également bon pour le mental car repose beaucoup moins sur les match-ups que les séries traditionnelles, faisant que c’est plus la stratégie que le respect de règles d’engagements qui compte. Bref vous l’aurez compris, Virtua Fighter vous apprendra beaucoup de choses.
Comme nous le disons à chaque fois : sur Bas Gros Poing notre but a toujours été de vous présenter et vous offrir une vue plus large du jeu de baston, de ses différents aspects. Rester ouvert et essayer le jeu sera, au-delà de parler à l’industrie avec votre porte monnaie, une fort belle manière de nous prouver qu’on ne bosse pas pour des prunes. Alors faites nous plaisir, et surtout faites vous plaisir et achetez-vous Final Showdown. Vous en sortirez bien plus malins.;)
