Oui enfin, de toute facon les petites boutiques qui n’ont pas un vrai plus concurrentiel sont deja amenés à crever/ etre racheté.
Et comme le souligne une grande partie des posteurs, l’occasion en france c’est de l’arnaque (et du vol pour les gens qui revendent), l’import c’est la solution miracle, même avec une hausse du taux de change ca reste imbattable.
]]>Faudrait qu’il redescendent chez Warner, ok certains de perso de MK sont cool, ok l’ambiance et l’histoire sont cool, les fatalité sont cool,Mk a les qualités de ses defauts tout le monde aime ça ok, mais objectivement ça s’arrete la, on voit même pas à quoi sert un mode online pour ce jeu avec son gameplay, il faut le reconnaitre au ras des paquerettes, si en plus il faut payer…
]]>@Yolsgens: tu l’achètes, tu as les droits d’utilisation privé, pas de prêts, pas de partage public. Tu le revends, tu revends aussi ces droits.
Dans tout les marchés de l’édition, c’est la même : le livre, les cd/dvd, les cartes à collectionner..
Ces boutiques ne font que interface à l’échange à l’instar des « best buy » ou autres chaine de revente d’occase.
C’est toujours le joueur qui doit mettre la main à la poche alors que le vrai problème de l’occaz, c’est avant tout les boutiques…
Des boutiques qui violent les joueurs (En reprenant des jeux 10€ et en revendant ces derniers 50€) ainsi que les éditeurs.
À la place de faire des codes contre les joueurs, ils devraient plutôt faire un organisme qui régule l’occasion avec une bonne taxe sur les boutiques qui pratiquent ce système…
Il y a d’autres choix que de toujours prendre l’argent du joueur !
]]>D’ailleurs l’occaz c’est pas borderline légalement ? Normalement quand on paie un jeu on paie le droit d’utilisation d’une œuvre de l’esprit (propriété intellectuelle, etc.), finalement le jeu en tant qu’objet, le « CD » en lui même n’a aucune « valeur », d’ailleurs dans certains cas y en a pas (jeu dématérialisé). Ces boutiques qui font de l’occaz doivent payer une compensation aux éditeurs pour faire leur business du coup non ?
Le cas échéant les éditeurs passent maintenant à la caisse deux fois avec ce principe (ou une fois en cas de vente de particulier à particulier).
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